Festival de courts-métrages | Paris
Lieu : Auditorium Edmond J.Safra
Participants : 100 maximum
Gratuit
La date de l'événement est passéeKL de William Henne et Yann Bonnin
Belgique, expérimental, 3 min, 2017.
À travers un montage effréné de photographies de détails du camp d’Auschwitz, William Henne et Yann Bonnin reconstituent le calvaire des déportés.
Ligne de vie de Serge Avédikian
France, animation, Les Films de l’Arlequin, 12 min, 2003.
Un dessin sur un mur. Un homme face à ce mur raconte qu’il a toujours porté des lunettes, même au camp.
L’Appel de Ryszard Czekała
Pologne, animation, Studio Miniatur Filmowych, 7 min, 1970.
Dans un camp, des détenus doivent obéir aux ordres de leurs bourreaux : couché, debout, couché, debout... Jusqu’à ce qu’ils se révoltent.
Les Oreilles n’ont pas de paupières d’Étienne Chaillou.
France, animation, EnsAD – Ecole national supérieur des Arts Décoratifs, 8 min, 2004.
L’orchestre du camp de concentration joue et charme son public. Les talons des bottes des officiers battent le sol et les coups pleuvent au rythme du violon.
Justice de Marc Faye
France, animation, Novanima, 2 min, 2021.
En 1983, Klaus Barbie est arrêté. Dans ce court-métrage, Robert Badinter raconte le sentiment ambivalent qui l’habite lorsqu’il se rend compte qu’en ayant aboli la peine de mort deux ans plus tôt, il vient de sauver la vie de l’assassin de son père.
Wie so ein lästiger Regen schweigen kann de Jakob Werner
Allemagne, animation, Jakob Werner, 5 min, 2021.
Dix-neuf ans après Auschwitz, Otto Dov Kulka et 210 autres survivants témoignent à la barre contre 20 anciens officiers lors du procès de Francfort.
Enfer et négation de Jean-Marc Culiersi
France, expérimental, Robert & Geeske Boublil, Mémo-Arts, 6 min, 2019.
Un poème filmique sous forme de malédiction à l’encontre des négationnistes.
En présence de Claire Aslangul, maîtresse de conférences à l’université Paris-Sorbonne en histoire culturelle, et Christian Delage, professeur d’histoire à l’université Paris 8 Vincennes et réalisateur.
Photo : Photogramme de Wie so ein lästigen regen Schweigen kan de Jakob Werner.