Rencontres | Paris
Lieu : Auditorium E.J.Safra
Participants : 120 maximum
5,00 €
La mémoire du pire peut-elle s’accommoder des qualités généralement attribuées à la monumentalité – unicité, statisme, hiératisme ? Doit-elle se mettre à l’épreuve de ce qu’elle commémore ? Adachiara Zevi montre qu’il faut permettre à la mémoire de ne pas être inerte, Jacques Gubler cherche à comparer le Mémorial de la Shoah de Milan, situé sous la gare centrale, à celui de Drancy.
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Photo : © Gare centrale de Milan (1926-1931) Ulisse Stacchini, arch. Fête de l'inauguration, 1931. Montage photographique, Document anonyme.